Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Tannabelle et ses grumeaux

   
"Livre-lui tes pensées. Des pensées que tu ne dis pas, ce sont des pensées qui pèsent, qui s'incrustent, qui t'alourdissent, qui t'immobilisent, qui prennent la place des idées neuves et qui te pourrissent. Tu vas devenir une décharge à vieilles pensées qui puent si tu ne parles pas."
Oscar et la dame rose - Éric-Emmanuel Schmitt
   
Newsletter
Derniers commentaires
16 juillet 2013

Bertolt Brecht

"Ceux qui luttent ne sont pas sûrs de gagner, mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu."

Citation

Publicité
Publicité
15 juillet 2013

D'ici et d'ailleurs - Épisode 2

À la première liste des origines géographiques des visiteurs se sont ajoutés quelques nouveaux pays :
  • Hongrie
  • Italie
  • Liban
  • Pays-Bas
  • Suisse

Le blog existe depuis 2 mois 1/2 et vous êtes déjà plus de 2100 à nous avoir rendu visite, ponctuellement ou régulièrement.

Et il ne se passe pas une journée sans que les grumeaux attirent de nouveaux visiteurs ! :-)

Statistiques

14 juillet 2013

Premier album photo

Sur cette page, vous retrouverez toutes les créations maison réalisées pour les grumeaux, par Mamoun' et par moi.

Fait-maison

D'autres albums suivront peut-être selon le chemin que prendra le blog.

14 juillet 2013

Je vous présente...

image

... Bernardin (à gauche) et Benoît (à droite) !

Ces deux grenouilles étant nées respectivement le 20 mai et le 11 juillet, elles ont naturellement pris le nom de leur saint patron ! :-)

14 juillet 2013

Le p'tit air - Maxime Le Forestier

Audio

Je ne sais pas de quoi parle cette chanson mais je sais comment je la ressens...

Il suffit que quelqu'un fredonne
Le p'tit air que j'avais fait pour toi
Et c'est un peu de nous qui sonne
Dans l'au-delà
Il suffit que quelqu'un murmure
Le p'tit air que j'avais fait pour toi
Si c'est un peu de nous qui dure
C'est déjà ça

La mousse a recouvert les lettres
Et déjà la pierre se fend
C'est sûr qu'avoir été vivant
C'est moins amusant que de l'être
On se dissout, on s'évapore
On se répand dans le grand flou
Que peut-il bien rester de nous
Quel fil de nous s'agite encore
S'agite encore

Il suffit que quelqu'un fredonne
Le p'tit air que j'avais fait pour toi
Et c'est un peu de nous qui sonne
Dans l'au-delà
Il suffit que quelqu'un murmure
Le p'tit air que j'avais fait pour toi
Si c'est un peu de nous qui dure
C'est déjà ça

On laisse des traces ou des séquelles
Des peintures ou des monuments
Les statues tombent forcément
Gravitation universelle
Alors qu'un air qui se faufile
De lèvre en lèvre et qui survit
Ça peut nous faire un paradis
Viens, on s'en va danser tranquille
Danser tranquille

Il suffit que quelqu'un fredonne
Le p'tit air que j'avais fait pour toi
Et c'est un peu de nous qui sonne
Dans l'au-delà
Il suffit que quelqu'un murmure
Le p'tit air que j'avais fait pour toi
Si c'est un peu de nous qui dure
C'est déjà ça
C'est déjà ça
C'est déjà ça
C'est déjà ça

Publicité
Publicité
14 juillet 2013

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

Au moment de définir une catégorie pour ce billet, j'ai longuement hésité entre Grossesse et A méditer mais je reste intimement convaincue que cet évènement est directement lié à ce qui se passe dans mon bidon en ce moment...

Hier, samedi 13 juillet 2013.
19h15, en sortant de la douche.
J'ai alors 28 ans, 2 mois, 18 jours et quelques heures.
...
...
...
...
...
...
...
Et je viens de découvrir mon premier cheveu blanc !

Saletés de grumeaux ! ;-)

Cheveu blanc

12 juillet 2013

Préparation à la naissance - Épisode 1

Vendredi dernier, c'était notre première séance de préparation à l'accouchement. Comme mon mari était en vacances, il a pu m'accompagner mais ce ne sera pas le cas les prochaines fois puisque toutes les séances ont lieu le vendredi matin. Or, comme il doit déjà s'absenter souvent de son travail (sous l'oeil bienveillant et compréhensif, heureusement, de ses responsables et collègues) pour les rendez-vous avec les médecins, il ne peut pas abuser et sera bien obligé de sacrifier ces rendez-vous-là.

Comme il paraît que les grumeaux sont souvent pressés et que nous risquons, selon la décision que nous prendrons, de devoir déclencher un accouchement prématuré, nous avons intégré un groupe de futurs parents dont les bébés doivent arriver plusieurs semaines avant les nôtres, comme en a attesté le "tour de tapis" de début de séance.

Une bonne surprise dès le début (que nous avons découverte en nous inscrivant quelques jours avant) : je connais et apprécie la sage-femme qui anime ces séances de préparation. Avant de "tourner" dans d'autres services, elle travaillait en effet dans le service d'AMP au début de notre parcours et j'avais alors eu le plaisir de découvrir une femme humaine et attentionnée.

Dans notre groupe, uniquement des premières grossesses et des âges relativement proches, autour de 30 ans, avec une exception : une jeune fille de 17 ans aussi paumée que touchante (en l'écoutant et en l'observant, je n'ai pu m'empêcher de me demander comment j'aurais vécu la situation, il y a 10 ans...).

Après les présentations des couples et futures mamans présents, la sage-femme a expliqué/rappelé le fonctionnement du corps pendant la grossesse et l'accouchement, avant de nous laisser poser nos questions sur l'accouchement. A mesure que j'écoutais les interrogations des autres futures mamans, dont certaines rejoignaient les miennes, et les réponses de la sage-femme, je sentais ma gorge se nouer, à cause d'une question qui m'obsédait mais que je ne voulais pas poser devant tout le monde, d'une part pour ne pas attirer la curiosité des autres sur notre histoire, d'autre part pour ne pas plomber l'ambiance. Et puis quand les questions ont tourné autour de la césarienne (sans rapport direct avec ma question, pourtant. Les autres ont dû croire que je redoutais la césarienne ; s'ils savaient...), je n'ai plus su retenir mes larmes et me suis effondrée jusqu'à ce que je me décide à sortir de la salle pour reprendre mes esprits.

La sage-femme, avec qui nous avions évoqué la drôle de grossesse que nous vivons lors de notre inscription à ces séances, nous a alors rejoints dans la salle d'attente pour me réconforter. J'ai d'autant plus apprécié son soutien qu'elle sait de quoi il s'agit puisqu'elle a elle-même vécu un deuil périnatal. Et avant que nous ne retournions dans la salle, j'ai obtenu ma réponse de sa bouche : "physiquement, ça ne fait aucune différence". Ma question, c'était : "ça fait quoi, d'accoucher d'un bébé vivant et d'un bébé mort à la suite ?"

Après cette petite interruption, la séance a repris son cours normal, entre explications techniques et conseils pratiques, notamment sur le massage périnéal à commencer quelques semaines (voire mois) avant l'accouchement afin de limiter les risques d'épisiotomie.

Malgré l'intermède lacrymal, entre démystification de l'accouchement et réelle préparation à la fois physique et psychologique, le bilan de cette première séance est positif, d'autant plus que ce type de préparation permet de normaliser la grossesse, ce que n'auraient pas permis les séances individuelles que la sage-femme m'a proposées avec une intention tout-à-fait louable.

Prochaine séance : début août, au retour de vacances de la sage-femme. D'ici là, nous allons tenter, en complément, la préparation en piscine, histoire de varier les plaisirs !

12 juillet 2013

La liste de mes envies

Je viens de finir La liste de mes envies, de Grégoire Delacourt.

Avec tout le tapage qui en a été fait, l'adaptation cinématographique en cours avec Marc Lavoine et Mathilde Seigner, l'histoire qui se passe chez moi (le Pas-de-Calais) et même dans une ville que je connais bien pour y avoir fait mon lycée (Arras) et lbuzz autour du dernier roman de l'auteur, je me suis laissée tenter par ce best-seller.

image

En quelques mots, j'ai été déçue, malgré le pitch accrocheur. Pas par le style - plutôt bien écrit et agréable quoiqu'un peu saccadé par moments - mais par l'histoire - trop triste, mélancolique et "désillusionnée" à mon goût - et par l'ambiance - trop pleurnicharde et nombriliste.

J'avais quitté, en plein milieu, une série de quatre romans légers et drôles pour me tourner vers ce (très court) roman afin de changer un peu d'ambiance et de varier les plaisirs mais peut-être que ce n'était tout simplement pas le genre de livres dont j'ai besoin en ce moment.

Il faut dire que la référence discrète mais permanente au troisième enfant de l'héroïne, une petite fille mort-née (élément dont j'ignorais l'existence jusqu'à ce que je commence ma lecture) n'a pas dû aider le livre à remplir la mission d'évasion que je lui avais confiée...

12 juillet 2013

Un bonnet pour Élise

Même si on ne sait pas encore quel destin aura Élise, je n'ai pu m'empêcher de commander ce bonnet de petite fille à ma mère, seule exception à la règle que nous nous sommes fixé, à savoir ne pas trop anticiper sur les achats, l'ameublement, les vêtements, etc. tant que nous ne savons pas si nous accueillerons un ou deux grumeaux.

image

J'espère de tout mon coeur de presque-maman que nous n'aurons pas à le détricoter...

12 juillet 2013

1, 2, 3, 4 chaussons !

Ça y est : les 4 chaussons sont terminés... après quelques semaines sans y toucher et avec l'aide de Mamoun', bien sûr !

image

Publicité
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 355 832
Publicité
Tannabelle et ses grumeaux
Publicité